Voilà presque 10 ans la première fois que j’ai vu ces navettes en photo. Un mystérieux français, @davidderueda le ou l’un des premiers au monde à les avoir photographié. En 2016 en pleine écriture de notre premier docu d’exploration urbaine : « Explore – A soviet Dystopia » les hangars étaient dans le top 2 des destinations à faire. Finalement l’Ukraine fut choisi lorsque quelqu’un de confiance nous fit croire que les navettes avaient été détruites. Depuis lors, les navettes sont restées dans un coin de notre tête, sommeillant aux cotés des nombreux projets avortés. Et finalement sur un coup de tête, alors que toutes les étoiles s’alignaient doucement, on décida de prendre nos billets 2 semaines avant l’expédition. L’emploi du temps était free, les finances pour supporter une telle expéd était dans le vert, une fusée russe devait envoyer un Soyouz vers l’ISS et les conditions -bien qu’extrêmes- étaient favorables pendant au moins 2 jours. La marche fut longue, extrême, surement l’une des plus éprouvantes de tous nos projets mais quel régal ! A 5min du départ on aperçoit déjà un convoi par train qui transporte une partie de la fusée, notre fusée qu’on souhaite photographier ! Je vous laisse découvrir dans l’épisode Youtube complet les péripéties mais après un ascenseur émotionnel de dingue, elles sont toujours là, dormant depuis la chute de l’URSS, c’est fou, le rêve devient réalité, la quête finale prend tout son sens. Par la fenêtre j’aperçois déjà le 2e hangar, dressé fièrement au milieu de l’immense manteau neigeux, ce soir on traversera le no man’s land, dans le noir complet. C’est le sujet du 3ème et dernier épisode de cette trilogie épique qui sort dans 1h, 18h sur Youtube. Soyez là 🔥
Voilà presque 10 ans la première fois que j’ai vu ces navettes en photo. Un mystérieux français, @davidderueda le ou l’un des premiers au monde à les avoir photographié. En 2016 en pleine écriture de notre premier docu d’exploration urbaine : « Explore – A soviet Dystopia » les hangars étaient dans le top 2 des destinations à faire. Finalement l’Ukraine fut choisi lorsque quelqu’un de confiance nous fit croire que les navettes avaient été détruites. Depuis lors, les navettes sont restées dans un coin de notre tête, sommeillant aux cotés des nombreux projets avortés. Et finalement sur un coup de tête, alors que toutes les étoiles s’alignaient doucement, on décida de prendre nos billets 2 semaines avant l’expédition. L’emploi du temps était free, les finances pour supporter une telle expéd était dans le vert, une fusée russe devait envoyer un Soyouz vers l’ISS et les conditions -bien qu’extrêmes- étaient favorables pendant au moins 2 jours. La marche fut longue, extrême, surement l’une des plus éprouvantes de tous nos projets mais quel régal ! A 5min du départ on aperçoit déjà un convoi par train qui transporte une partie de la fusée, notre fusée qu’on souhaite photographier ! Je vous laisse découvrir dans l’épisode Youtube complet les péripéties mais après un ascenseur émotionnel de dingue, elles sont toujours là, dormant depuis la chute de l’URSS, c’est fou, le rêve devient réalité, la quête finale prend tout son sens. Par la fenêtre j’aperçois déjà le 2e hangar, dressé fièrement au milieu de l’immense manteau neigeux, ce soir on traversera le no man’s land, dans le noir complet. C’est le sujet du 3ème et dernier épisode de cette trilogie épique qui sort dans 1h, 18h sur Youtube. Soyez là 🔥
Voilà presque 10 ans la première fois que j’ai vu ces navettes en photo. Un mystérieux français, @davidderueda le ou l’un des premiers au monde à les avoir photographié. En 2016 en pleine écriture de notre premier docu d’exploration urbaine : « Explore – A soviet Dystopia » les hangars étaient dans le top 2 des destinations à faire. Finalement l’Ukraine fut choisi lorsque quelqu’un de confiance nous fit croire que les navettes avaient été détruites. Depuis lors, les navettes sont restées dans un coin de notre tête, sommeillant aux cotés des nombreux projets avortés. Et finalement sur un coup de tête, alors que toutes les étoiles s’alignaient doucement, on décida de prendre nos billets 2 semaines avant l’expédition. L’emploi du temps était free, les finances pour supporter une telle expéd était dans le vert, une fusée russe devait envoyer un Soyouz vers l’ISS et les conditions -bien qu’extrêmes- étaient favorables pendant au moins 2 jours. La marche fut longue, extrême, surement l’une des plus éprouvantes de tous nos projets mais quel régal ! A 5min du départ on aperçoit déjà un convoi par train qui transporte une partie de la fusée, notre fusée qu’on souhaite photographier ! Je vous laisse découvrir dans l’épisode Youtube complet les péripéties mais après un ascenseur émotionnel de dingue, elles sont toujours là, dormant depuis la chute de l’URSS, c’est fou, le rêve devient réalité, la quête finale prend tout son sens. Par la fenêtre j’aperçois déjà le 2e hangar, dressé fièrement au milieu de l’immense manteau neigeux, ce soir on traversera le no man’s land, dans le noir complet. C’est le sujet du 3ème et dernier épisode de cette trilogie épique qui sort dans 1h, 18h sur Youtube. Soyez là 🔥
Voilà presque 10 ans la première fois que j’ai vu ces navettes en photo. Un mystérieux français, @davidderueda le ou l’un des premiers au monde à les avoir photographié. En 2016 en pleine écriture de notre premier docu d’exploration urbaine : « Explore – A soviet Dystopia » les hangars étaient dans le top 2 des destinations à faire. Finalement l’Ukraine fut choisi lorsque quelqu’un de confiance nous fit croire que les navettes avaient été détruites. Depuis lors, les navettes sont restées dans un coin de notre tête, sommeillant aux cotés des nombreux projets avortés. Et finalement sur un coup de tête, alors que toutes les étoiles s’alignaient doucement, on décida de prendre nos billets 2 semaines avant l’expédition. L’emploi du temps était free, les finances pour supporter une telle expéd était dans le vert, une fusée russe devait envoyer un Soyouz vers l’ISS et les conditions -bien qu’extrêmes- étaient favorables pendant au moins 2 jours. La marche fut longue, extrême, surement l’une des plus éprouvantes de tous nos projets mais quel régal ! A 5min du départ on aperçoit déjà un convoi par train qui transporte une partie de la fusée, notre fusée qu’on souhaite photographier ! Je vous laisse découvrir dans l’épisode Youtube complet les péripéties mais après un ascenseur émotionnel de dingue, elles sont toujours là, dormant depuis la chute de l’URSS, c’est fou, le rêve devient réalité, la quête finale prend tout son sens. Par la fenêtre j’aperçois déjà le 2e hangar, dressé fièrement au milieu de l’immense manteau neigeux, ce soir on traversera le no man’s land, dans le noir complet. C’est le sujet du 3ème et dernier épisode de cette trilogie épique qui sort dans 1h, 18h sur Youtube. Soyez là 🔥
C’est l’image qu’on voulait faire depuis des années, avec toujours le même objectif en tête, créer le “Mais comment il a fait pour être là ?”. Très content de celle là. 📸 @paulrdb toujours aussi bon même après 5 nuits à se peler les couilles au fin fond de nul part. La réponse du comment est dans l’épisode 3 de notre docu dispo sur YouTube depuis Jeudi. On est sympas, contrairement à un bon magicien, on vous révèle toujours nos tours ! 😏
1. Dehors. 2. Dedans. La première chose qui m’a frappé en marchant sous ces navettes c’est l’immensité de l’engin, c’est aussi balèze qu’un avion !! Et je pense que le fait de les voir toujours en photo dans cet hangar immense ça aide pas. Sans parler du fait d’être resté une journée complète dans la partie haute du hangar et de les voir avec cette perspective plongeante et écrasante. Quelle merveille de technologie, la bouclier thermique est impressionnant, l’intérieur est super exiguë, complexe mais à la fois assez primitif en technologie et informatique. T’as l’impression de déambuler dans un sous marin, aucun espace n’est laissé au hasard et le confort et la dernière des priorités. 📸 @paulrdb
1. Dehors. 2. Dedans. La première chose qui m’a frappé en marchant sous ces navettes c’est l’immensité de l’engin, c’est aussi balèze qu’un avion !! Et je pense que le fait de les voir toujours en photo dans cet hangar immense ça aide pas. Sans parler du fait d’être resté une journée complète dans la partie haute du hangar et de les voir avec cette perspective plongeante et écrasante. Quelle merveille de technologie, la bouclier thermique est impressionnant, l’intérieur est super exiguë, complexe mais à la fois assez primitif en technologie et informatique. T’as l’impression de déambuler dans un sous marin, aucun espace n’est laissé au hasard et le confort et la dernière des priorités. 📸 @paulrdb
1. Navette spatiale Buran, quelques secondes avant d’apercevoir un garde juste en dessous. 2. 60km de la dropzone, rencontre du maître des steppes. 3. 10h54, une patrouille armée pénètre le hangar, le choix est difficile rester ici ou partir s’enfermer dans notre base camp sous le système d’aération. 4. L’un des nombreux pas de tir entourant les hangars, certains sont abandonnés, d’autres actifs. 5. Base camp HTR, température moyenne -13°C, la condensation des duvets gèle dans la nuit, briser la glace au réveil est nécessaire. Les 3 épisodes issues de notre docu “Buran – La quête finale” sont dispo sur Youtube/HitTheRoad.
1. Navette spatiale Buran, quelques secondes avant d’apercevoir un garde juste en dessous. 2. 60km de la dropzone, rencontre du maître des steppes. 3. 10h54, une patrouille armée pénètre le hangar, le choix est difficile rester ici ou partir s’enfermer dans notre base camp sous le système d’aération. 4. L’un des nombreux pas de tir entourant les hangars, certains sont abandonnés, d’autres actifs. 5. Base camp HTR, température moyenne -13°C, la condensation des duvets gèle dans la nuit, briser la glace au réveil est nécessaire. Les 3 épisodes issues de notre docu “Buran – La quête finale” sont dispo sur Youtube/HitTheRoad.
1. Navette spatiale Buran, quelques secondes avant d’apercevoir un garde juste en dessous. 2. 60km de la dropzone, rencontre du maître des steppes. 3. 10h54, une patrouille armée pénètre le hangar, le choix est difficile rester ici ou partir s’enfermer dans notre base camp sous le système d’aération. 4. L’un des nombreux pas de tir entourant les hangars, certains sont abandonnés, d’autres actifs. 5. Base camp HTR, température moyenne -13°C, la condensation des duvets gèle dans la nuit, briser la glace au réveil est nécessaire. Les 3 épisodes issues de notre docu “Buran – La quête finale” sont dispo sur Youtube/HitTheRoad.
1. Navette spatiale Buran, quelques secondes avant d’apercevoir un garde juste en dessous. 2. 60km de la dropzone, rencontre du maître des steppes. 3. 10h54, une patrouille armée pénètre le hangar, le choix est difficile rester ici ou partir s’enfermer dans notre base camp sous le système d’aération. 4. L’un des nombreux pas de tir entourant les hangars, certains sont abandonnés, d’autres actifs. 5. Base camp HTR, température moyenne -13°C, la condensation des duvets gèle dans la nuit, briser la glace au réveil est nécessaire. Les 3 épisodes issues de notre docu “Buran – La quête finale” sont dispo sur Youtube/HitTheRoad.
1. Navette spatiale Buran, quelques secondes avant d’apercevoir un garde juste en dessous. 2. 60km de la dropzone, rencontre du maître des steppes. 3. 10h54, une patrouille armée pénètre le hangar, le choix est difficile rester ici ou partir s’enfermer dans notre base camp sous le système d’aération. 4. L’un des nombreux pas de tir entourant les hangars, certains sont abandonnés, d’autres actifs. 5. Base camp HTR, température moyenne -13°C, la condensation des duvets gèle dans la nuit, briser la glace au réveil est nécessaire. Les 3 épisodes issues de notre docu “Buran – La quête finale” sont dispo sur Youtube/HitTheRoad.
Base Jump illégal d’une fusée en pleine ville. Dispo sur Youtube.com/HitTheRoad Bien content des clichés au drone de @paulrdb qui tape le rappel pépouze au petit matin après le saut de @davidlaffargue 🔥
Base Jump illégal d’une fusée en pleine ville. Dispo sur Youtube.com/HitTheRoad Bien content des clichés au drone de @paulrdb qui tape le rappel pépouze au petit matin après le saut de @davidlaffargue 🔥
Base Jump illégal d’une fusée en pleine ville. Dispo sur Youtube.com/HitTheRoad Bien content des clichés au drone de @paulrdb qui tape le rappel pépouze au petit matin après le saut de @davidlaffargue 🔥
Base Jump illégal d’une fusée en pleine ville. Dispo sur Youtube.com/HitTheRoad Bien content des clichés au drone de @paulrdb qui tape le rappel pépouze au petit matin après le saut de @davidlaffargue 🔥
10 ans ou 10 jours de prison ? C’est au matin qu’on s’attaque au bâtiment le plus étrange qu’on ait jamais vu, un truc triangulaire avec un mystérieux cercle au milieu (photo 3 & 4) abritant je ne sais quel secret, le tout relié à un champ de panneaux noirs (photo 2). L’endroit est désert, pas un véhicule, des fenêtres cassées et quelques archives de 2017 montre 2 jeunes russes en vélo devant l’enceinte du bâtiment. J’envoie le drone en reconnaissance, une veille centrale électrique en ruine est collée toute proche à l’Ouest et le mystérieux radar noir en longueur ressemble aujourd’hui à d’anciens panneaux publicitaires. En bref, rien d’inquiétant. Erreur ! On passe sous les barbelés, on commence à chercher un accès pouvant nous mener à l’intérieur du bâtiment principal et Paul remarque d’un coup une caméra au mur, toute blanche, parfaitement neuve. Suspect pour une telle carcasse au fin fond des steppes kazakhs. A peine le temps de se dire qu’on devrait partir que 2 militaires foncent sur nous, plutôt surpris de nous voir là. Ils ont pas l’air méchant mais nous interroge longuement dans une salle à part, jusqu’à ce que leur supérieur, avec un max d’étoiles sur l’écusson arrive comme une furie et commence à nous hurler dessus, c’est là que les ennuis commencent… L’histoire complète sur notre chaine Youtube/HitTheRoad, vidéo “ARRÊTÉS DANS UNE BASE RUSSE – BAIKONOUR EP1”. L’épisode 2, sur les navettes, sort tout à l’heure à 18h !
Ptite grimpe sauvage sur la plus haute tour d’habitation de Paris ! Nouvelle vidéo en ligne ! 🫶 Le combo poster une photo sur insta grimper un truc à Paris j’ai l’impression d’être en 2018 😂 📸 @paulrdb
Ptite grimpe sauvage sur la plus haute tour d’habitation de Paris ! Nouvelle vidéo en ligne ! 🫶 Le combo poster une photo sur insta grimper un truc à Paris j’ai l’impression d’être en 2018 😂 📸 @paulrdb
Ptite grimpe sauvage sur la plus haute tour d’habitation de Paris ! Nouvelle vidéo en ligne ! 🫶 Le combo poster une photo sur insta grimper un truc à Paris j’ai l’impression d’être en 2018 😂 📸 @paulrdb
Petite pause dans les publi sur le Kazak’, mais on reste dans la thématique aérospatiale ahaha. Je vous avais dit que j’étais descendu en rappel d’une Ariane 4 le mois dernier ? Je t’explique rapido, on commençait notre formation de parachutisme quand on a croisé sur la skyzone, notre bon copain et ami skygod @davidlaffargue (ceux qui suivent notre podcast auront la réf). Sauf que David il a un projet en tête depuis quelques temps, c’est de sauter du haut de la fusée en Base jump. Concrètement il monte là haut, il fait son truc, il compte jusqu’à 3, il saute dans le vide et normalement son parachute s’ouvre avant l’impact au sol. Joyeux programme n’est ce pas ? L’aventure était tellement folle qu’on en a fait un mini docu pour Youtube, 22min de pur bonheur, qui montre tout le processus avant le saut, la préparation technique, mentale, etc.. en vrai la vidéo mériterait à mon sens 1M de vues mais c’est pas de mon ressors. (c’est le tiens mon frérot 🫵) Du coup je me suis retrouvé à faire un rappel d’en haut pour le plaisir (c’est faux je me suis chié dessus comme rarement ça m’arrive) et pour checker si la surface était ok pour le parachute de David histoire d’avoir tous les paramètres de notre coté ! Bref, si t’as pas vu cette vidéo de fou je t’invite à aller rattraper ton retard de suite ! Youtube.com/HitTheRoad, “BASE JUMP ILLÉGAL D’UNE FUSÉE EN PLEINE VILLE !”