Même si j’ai tourné trois saisons de Van Aventure et écrit un livre complet sur le sujet, j’ai l’impression de retomber en amour avec la vanlife chaque fois que je repars sur la route. Comme un couple qui continue d’enrichir et d’approfondir sa relation au fil des ans. C’est justement avec ma blonde que j’ai passé les deux dernières semaines dans le Maine à bord de notre @sherbeevan. Un voyage fabuleux qui a consolidé notre désir de voyager ensemble à travers l’Amérique au cours des prochaines années. Je reviens avec une carte mémoire remplie de photos et un carnet bourrés d’anecdotes. Pendant que je fais le tri dans tout ça, voici quelques-uns des moments forts de ce roadtrip au pays du homard et des plages de sable blanc! -Se stationner directement sur la rue qui borde l’océan à York et déjeuner en regardant les surfeurs rider les vagues. Home is where you park it, indeed! -Dormir en respirant la brise de l’océan par la fenêtre de la van. -Profiter des spots incroyables trouvés sur Harvest Host. Comme la fois où on a garé la Sherbee au milieu des pâturages de la ferme Martin’s Place de Gorham. En prime, être invité au tournoi de corn hole de nos hôtes. -Rouler à travers les étroites rues d’un village de pêcheurs pour découvrir le port par un matin brumeux. -Décider des repas du jour en fonction des petits marchés croisés sur notre route. -Improviser un 5 à 7 vin et fromages dans le stationnement d’un phare particulièrement joli. -Entendre le martèlement de la pluie sur le toit de la van alors qu’un orage se déchaine à l’extérieur. -Prendre une douche après une journée à la plage ou une sortie de course à pied. -Jaser avec des passants qui sont intrigués par la van et veulent y jeter un oeil. -Réussir à se garer dans le centre-ville de Boston pour profiter d’une nuit à l’hôtel et se payer un bon resto. -Confirmer qu’investir dans Sherbee a été l’une des meilleures décisions de ma vie! 😁
Malgré l’abandon d’Éric Deshaies que nous suivions pour Les Crinqués, le réalisateur Jérôme Binette et moi avons décidé de rester sur le site du championnat mondial de Backyard et de documenter le reste de la course. Nous sommes trop captivés par ce laboratoire à ciel ouvert où des athlètes de partout dans le monde sont venus tester les limites de l’endurance humaine. Lors du départ de la 62ème heure, 27 participants tenaient encore sur leurs jambes. Ils ont dépassé la barre des 400 km! Sur une note plus triste, un des participants a été éliminé pour avoir pris le départ sans sa puce, oubliée lors d’un changement de bas. L’organisateur de la course « Laz » est connu pour être intraitable sur les règlements. N’empêche ça faisait mal de voir ce coureur contraint à l’abandon pour un détail technique après plus de 60 heures d’effort!(derrière photo) Sur une note plus personnelle, je m’apprête à passer une troisième nuit dans ma petite tente sur le site pour être le plus près possible de l’action. J’ai l’impression que la journée de demain va être riche en émotion!
Malgré l’abandon d’Éric Deshaies que nous suivions pour Les Crinqués, le réalisateur Jérôme Binette et moi avons décidé de rester sur le site du championnat mondial de Backyard et de documenter le reste de la course. Nous sommes trop captivés par ce laboratoire à ciel ouvert où des athlètes de partout dans le monde sont venus tester les limites de l’endurance humaine. Lors du départ de la 62ème heure, 27 participants tenaient encore sur leurs jambes. Ils ont dépassé la barre des 400 km! Sur une note plus triste, un des participants a été éliminé pour avoir pris le départ sans sa puce, oubliée lors d’un changement de bas. L’organisateur de la course « Laz » est connu pour être intraitable sur les règlements. N’empêche ça faisait mal de voir ce coureur contraint à l’abandon pour un détail technique après plus de 60 heures d’effort!(derrière photo) Sur une note plus personnelle, je m’apprête à passer une troisième nuit dans ma petite tente sur le site pour être le plus près possible de l’action. J’ai l’impression que la journée de demain va être riche en émotion!
Malgré l’abandon d’Éric Deshaies que nous suivions pour Les Crinqués, le réalisateur Jérôme Binette et moi avons décidé de rester sur le site du championnat mondial de Backyard et de documenter le reste de la course. Nous sommes trop captivés par ce laboratoire à ciel ouvert où des athlètes de partout dans le monde sont venus tester les limites de l’endurance humaine. Lors du départ de la 62ème heure, 27 participants tenaient encore sur leurs jambes. Ils ont dépassé la barre des 400 km! Sur une note plus triste, un des participants a été éliminé pour avoir pris le départ sans sa puce, oubliée lors d’un changement de bas. L’organisateur de la course « Laz » est connu pour être intraitable sur les règlements. N’empêche ça faisait mal de voir ce coureur contraint à l’abandon pour un détail technique après plus de 60 heures d’effort!(derrière photo) Sur une note plus personnelle, je m’apprête à passer une troisième nuit dans ma petite tente sur le site pour être le plus près possible de l’action. J’ai l’impression que la journée de demain va être riche en émotion!
Malgré l’abandon d’Éric Deshaies que nous suivions pour Les Crinqués, le réalisateur Jérôme Binette et moi avons décidé de rester sur le site du championnat mondial de Backyard et de documenter le reste de la course. Nous sommes trop captivés par ce laboratoire à ciel ouvert où des athlètes de partout dans le monde sont venus tester les limites de l’endurance humaine. Lors du départ de la 62ème heure, 27 participants tenaient encore sur leurs jambes. Ils ont dépassé la barre des 400 km! Sur une note plus triste, un des participants a été éliminé pour avoir pris le départ sans sa puce, oubliée lors d’un changement de bas. L’organisateur de la course « Laz » est connu pour être intraitable sur les règlements. N’empêche ça faisait mal de voir ce coureur contraint à l’abandon pour un détail technique après plus de 60 heures d’effort!(derrière photo) Sur une note plus personnelle, je m’apprête à passer une troisième nuit dans ma petite tente sur le site pour être le plus près possible de l’action. J’ai l’impression que la journée de demain va être riche en émotion!
Malgré l’abandon d’Éric Deshaies que nous suivions pour Les Crinqués, le réalisateur Jérôme Binette et moi avons décidé de rester sur le site du championnat mondial de Backyard et de documenter le reste de la course. Nous sommes trop captivés par ce laboratoire à ciel ouvert où des athlètes de partout dans le monde sont venus tester les limites de l’endurance humaine. Lors du départ de la 62ème heure, 27 participants tenaient encore sur leurs jambes. Ils ont dépassé la barre des 400 km! Sur une note plus triste, un des participants a été éliminé pour avoir pris le départ sans sa puce, oubliée lors d’un changement de bas. L’organisateur de la course « Laz » est connu pour être intraitable sur les règlements. N’empêche ça faisait mal de voir ce coureur contraint à l’abandon pour un détail technique après plus de 60 heures d’effort!(derrière photo) Sur une note plus personnelle, je m’apprête à passer une troisième nuit dans ma petite tente sur le site pour être le plus près possible de l’action. J’ai l’impression que la journée de demain va être riche en émotion!
Malgré l’abandon d’Éric Deshaies que nous suivions pour Les Crinqués, le réalisateur Jérôme Binette et moi avons décidé de rester sur le site du championnat mondial de Backyard et de documenter le reste de la course. Nous sommes trop captivés par ce laboratoire à ciel ouvert où des athlètes de partout dans le monde sont venus tester les limites de l’endurance humaine. Lors du départ de la 62ème heure, 27 participants tenaient encore sur leurs jambes. Ils ont dépassé la barre des 400 km! Sur une note plus triste, un des participants a été éliminé pour avoir pris le départ sans sa puce, oubliée lors d’un changement de bas. L’organisateur de la course « Laz » est connu pour être intraitable sur les règlements. N’empêche ça faisait mal de voir ce coureur contraint à l’abandon pour un détail technique après plus de 60 heures d’effort!(derrière photo) Sur une note plus personnelle, je m’apprête à passer une troisième nuit dans ma petite tente sur le site pour être le plus près possible de l’action. J’ai l’impression que la journée de demain va être riche en émotion!
Comme bien d’autres coureurs de trail, j’ai découvert Gary « Lazarus Lake » Cantrell sur YouTube, dans le documentaire viral Where Dreams Go To Die. Avec sa barbe hirsute, sa veste de chasse et ses cigarettes qu’il fume à la chaîne, cet excentrique organisateur de courses d’endurance est devenu une véritable légende dans la communauté. Celui que l’on surnomme « the mad scientist » est passé maître dans l’art d’inventer des courses hors normes considérées comme les plus difficiles au monde. Inutile d’ajouter que je suis un grand fan du personnage! C’est donc excité comme un Swiftie qui assiste à son premier show de Taylor que j’ai eu la chance de le rencontrer chez lui au Tennessee. Je suis sur place pour documenter le championnat du monde de Backyard Ultra auquel participe le Québécois Éric Deshaies. On pourra voir ça dans la saison 2 des Crinqués. Un backyard consiste à courir 6.7 km à chaque heure, de façon consécutive, jusqu’à l’abandon des participants. Il n’y a qu’un seul gagnant, celui ou celle qui tient encore debout à la fin! Le record est actuellement de 102 tours. Faites le calcul, c’est inhumain! Si tout va bien la course qui a débuté ce matin à 7h devrait donc se terminer… jeudi prochain! 🤯 Le temps de faire encore pas mal de photos!!!
Comme bien d’autres coureurs de trail, j’ai découvert Gary « Lazarus Lake » Cantrell sur YouTube, dans le documentaire viral Where Dreams Go To Die. Avec sa barbe hirsute, sa veste de chasse et ses cigarettes qu’il fume à la chaîne, cet excentrique organisateur de courses d’endurance est devenu une véritable légende dans la communauté. Celui que l’on surnomme « the mad scientist » est passé maître dans l’art d’inventer des courses hors normes considérées comme les plus difficiles au monde. Inutile d’ajouter que je suis un grand fan du personnage! C’est donc excité comme un Swiftie qui assiste à son premier show de Taylor que j’ai eu la chance de le rencontrer chez lui au Tennessee. Je suis sur place pour documenter le championnat du monde de Backyard Ultra auquel participe le Québécois Éric Deshaies. On pourra voir ça dans la saison 2 des Crinqués. Un backyard consiste à courir 6.7 km à chaque heure, de façon consécutive, jusqu’à l’abandon des participants. Il n’y a qu’un seul gagnant, celui ou celle qui tient encore debout à la fin! Le record est actuellement de 102 tours. Faites le calcul, c’est inhumain! Si tout va bien la course qui a débuté ce matin à 7h devrait donc se terminer… jeudi prochain! 🤯 Le temps de faire encore pas mal de photos!!!
Comme bien d’autres coureurs de trail, j’ai découvert Gary « Lazarus Lake » Cantrell sur YouTube, dans le documentaire viral Where Dreams Go To Die. Avec sa barbe hirsute, sa veste de chasse et ses cigarettes qu’il fume à la chaîne, cet excentrique organisateur de courses d’endurance est devenu une véritable légende dans la communauté. Celui que l’on surnomme « the mad scientist » est passé maître dans l’art d’inventer des courses hors normes considérées comme les plus difficiles au monde. Inutile d’ajouter que je suis un grand fan du personnage! C’est donc excité comme un Swiftie qui assiste à son premier show de Taylor que j’ai eu la chance de le rencontrer chez lui au Tennessee. Je suis sur place pour documenter le championnat du monde de Backyard Ultra auquel participe le Québécois Éric Deshaies. On pourra voir ça dans la saison 2 des Crinqués. Un backyard consiste à courir 6.7 km à chaque heure, de façon consécutive, jusqu’à l’abandon des participants. Il n’y a qu’un seul gagnant, celui ou celle qui tient encore debout à la fin! Le record est actuellement de 102 tours. Faites le calcul, c’est inhumain! Si tout va bien la course qui a débuté ce matin à 7h devrait donc se terminer… jeudi prochain! 🤯 Le temps de faire encore pas mal de photos!!!
Comme bien d’autres coureurs de trail, j’ai découvert Gary « Lazarus Lake » Cantrell sur YouTube, dans le documentaire viral Where Dreams Go To Die. Avec sa barbe hirsute, sa veste de chasse et ses cigarettes qu’il fume à la chaîne, cet excentrique organisateur de courses d’endurance est devenu une véritable légende dans la communauté. Celui que l’on surnomme « the mad scientist » est passé maître dans l’art d’inventer des courses hors normes considérées comme les plus difficiles au monde. Inutile d’ajouter que je suis un grand fan du personnage! C’est donc excité comme un Swiftie qui assiste à son premier show de Taylor que j’ai eu la chance de le rencontrer chez lui au Tennessee. Je suis sur place pour documenter le championnat du monde de Backyard Ultra auquel participe le Québécois Éric Deshaies. On pourra voir ça dans la saison 2 des Crinqués. Un backyard consiste à courir 6.7 km à chaque heure, de façon consécutive, jusqu’à l’abandon des participants. Il n’y a qu’un seul gagnant, celui ou celle qui tient encore debout à la fin! Le record est actuellement de 102 tours. Faites le calcul, c’est inhumain! Si tout va bien la course qui a débuté ce matin à 7h devrait donc se terminer… jeudi prochain! 🤯 Le temps de faire encore pas mal de photos!!!
Déjà 30 heures que le championnat du monde de Backyard a été lancé au Tennessee. Les participants viennent de franchir la barre des 200 kilomètres courus. Ça commence à grimacer fort et 14 athlètes sur 75 ont jeté la serviette jusqu’à maintenant. Le seul Québécois en lice Éric Deshaies se porte bien malgré une douleur à la jambe qui l’ennuie. Le légendaire « Laz » est de chaque départ, ce qui donne un boost incroyable à tout le monde. Une affiche conçue par son équipe résume bien l’aspect hors-norme de cette course: There is NO finish There is NO end Just keep running You probably won’t win! Je me pince d’être ici pour Les Crinqués!!!
Déjà 30 heures que le championnat du monde de Backyard a été lancé au Tennessee. Les participants viennent de franchir la barre des 200 kilomètres courus. Ça commence à grimacer fort et 14 athlètes sur 75 ont jeté la serviette jusqu’à maintenant. Le seul Québécois en lice Éric Deshaies se porte bien malgré une douleur à la jambe qui l’ennuie. Le légendaire « Laz » est de chaque départ, ce qui donne un boost incroyable à tout le monde. Une affiche conçue par son équipe résume bien l’aspect hors-norme de cette course: There is NO finish There is NO end Just keep running You probably won’t win! Je me pince d’être ici pour Les Crinqués!!!
Déjà 30 heures que le championnat du monde de Backyard a été lancé au Tennessee. Les participants viennent de franchir la barre des 200 kilomètres courus. Ça commence à grimacer fort et 14 athlètes sur 75 ont jeté la serviette jusqu’à maintenant. Le seul Québécois en lice Éric Deshaies se porte bien malgré une douleur à la jambe qui l’ennuie. Le légendaire « Laz » est de chaque départ, ce qui donne un boost incroyable à tout le monde. Une affiche conçue par son équipe résume bien l’aspect hors-norme de cette course: There is NO finish There is NO end Just keep running You probably won’t win! Je me pince d’être ici pour Les Crinqués!!!
Déjà 30 heures que le championnat du monde de Backyard a été lancé au Tennessee. Les participants viennent de franchir la barre des 200 kilomètres courus. Ça commence à grimacer fort et 14 athlètes sur 75 ont jeté la serviette jusqu’à maintenant. Le seul Québécois en lice Éric Deshaies se porte bien malgré une douleur à la jambe qui l’ennuie. Le légendaire « Laz » est de chaque départ, ce qui donne un boost incroyable à tout le monde. Une affiche conçue par son équipe résume bien l’aspect hors-norme de cette course: There is NO finish There is NO end Just keep running You probably won’t win! Je me pince d’être ici pour Les Crinqués!!!
Déjà 30 heures que le championnat du monde de Backyard a été lancé au Tennessee. Les participants viennent de franchir la barre des 200 kilomètres courus. Ça commence à grimacer fort et 14 athlètes sur 75 ont jeté la serviette jusqu’à maintenant. Le seul Québécois en lice Éric Deshaies se porte bien malgré une douleur à la jambe qui l’ennuie. Le légendaire « Laz » est de chaque départ, ce qui donne un boost incroyable à tout le monde. Une affiche conçue par son équipe résume bien l’aspect hors-norme de cette course: There is NO finish There is NO end Just keep running You probably won’t win! Je me pince d’être ici pour Les Crinqués!!!
Les phares m’ont toujours fascinés. Dans mon imagination, ces bâtiments sont remplies de mystères, témoins de catastrophes maritimes et de grandes tempêtes. Je les trouve aussi incroyablement photogéniques! J’ai passé une partie de mon voyage dans le Maine à les chercher, les trouvant souvent cachés au bout de péninsules peu fréquentées. Quel est votre préféré? Dans l’ordre: #1: Pemaquid point Lighthouse #2: Fort Pickering Lighthouse (Salem) #3: Hendricks Head Lighthouse #4: Owls Head Lighthouse
Les phares m’ont toujours fascinés. Dans mon imagination, ces bâtiments sont remplies de mystères, témoins de catastrophes maritimes et de grandes tempêtes. Je les trouve aussi incroyablement photogéniques! J’ai passé une partie de mon voyage dans le Maine à les chercher, les trouvant souvent cachés au bout de péninsules peu fréquentées. Quel est votre préféré? Dans l’ordre: #1: Pemaquid point Lighthouse #2: Fort Pickering Lighthouse (Salem) #3: Hendricks Head Lighthouse #4: Owls Head Lighthouse
Les phares m’ont toujours fascinés. Dans mon imagination, ces bâtiments sont remplies de mystères, témoins de catastrophes maritimes et de grandes tempêtes. Je les trouve aussi incroyablement photogéniques! J’ai passé une partie de mon voyage dans le Maine à les chercher, les trouvant souvent cachés au bout de péninsules peu fréquentées. Quel est votre préféré? Dans l’ordre: #1: Pemaquid point Lighthouse #2: Fort Pickering Lighthouse (Salem) #3: Hendricks Head Lighthouse #4: Owls Head Lighthouse
Après 36 heures de course et plus de 273 km de distance, Éric Deshaies a dû mettre fin à son défi au Championnat du monde de Backyard au Tennessee. Ennuyé par une blessure à la jambe et une nausée qui l’empêchait de manger, le seul Québécois de la compétition a été contraint d’abandonner. Sa première réaction a été de s’excuser de ne pas avoir réussi à pousser plus (il espérait battre son record personnel de 66 tours) ce à quoi je lui ai répondu: « Réalises-tu que tu viens de courir durant une journée et demi sans arrêt ou presque? Tu as tout mon respect mon gars! » Pendant ce temps la course se poursuit et il ne serait pas surprenant que le record du circuit soit battu. Il est actuellement de 86 tours!!! PS: Je suis sur place dans le cadre de la saison 2 des Crinqués. C’est pas ça qui manque ici!!!
Les phares m’ont toujours fascinés. Dans mon imagination, ces bâtiments sont remplies de mystères, témoins de catastrophes maritimes et de grandes tempêtes. Je les trouve aussi incroyablement photogéniques! J’ai passé une partie de mon voyage dans le Maine à les chercher, les trouvant souvent cachés au bout de péninsules peu fréquentées. Quel est votre préféré? Dans l’ordre: #1: Pemaquid point Lighthouse #2: Fort Pickering Lighthouse (Salem) #3: Hendricks Head Lighthouse #4: Owls Head Lighthouse
Surfin’ U.S.A. à York dans le Maine. Ma plage pref du voyage! 🏄♂️
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