Bon Ramadan à tous. Ramadan, pour moi, c’est avant tout un retour aux sources. Un mois où on se recentre sur l’essentiel, où on se rapproche des siens, où on se reconnecte à sa foi et à soi-même. J’aime le passer en famille, et il n’y a rien de plus beau que ces moments partagés, ces soirées où on rit, on échange, on se retrouve autour d’une table après une journée de jeûne. Mais jeûner, ce n’est pas juste s’abstenir de manger et de boire. C’est aussi travailler sur soi : sur sa patience, sa générosité, son comportement, sur notre rapport aux autres et à ce qui nous entoure. C’est un mois d’épreuves, mais surtout un mois d’apprentissage et de miséricorde. Quand je peux, j’aime le vivre pleinement au bled, à Oran, en famille. Ces quelques jours où on descend ensemble, où on se ressource, où on se rappelle d’où on vient, ça a une saveur particulière. Là-bas, tout a une autre intensité, entre les appels à la prière qui rythment la journée, les odeurs de la cuisine qui envahissent les rues, et cette ambiance unique qu’on ne retrouve nulle part ailleurs. Mais je pense aussi à tous ceux qui passeront ce Ramadan seuls, loin de leur famille, dans la difficulté. Et surtout, je pense encore une fois au peuple palestinien. Depuis mon enfance, je n’ai jamais vu un seul Ramadan où ils ont pu jeûner en paix. Chaque année, ils le vivent sous l’injustice et la souffrance, sous le regard du monde qui, trop souvent, détourne les yeux. Que Dieu leur facilite, leur accorde la patience, la force et, un jour, la paix qu’ils méritent. Ramadan, c’est la foi, c’est la solidarité, c’est l’égalité. C’est se rappeler ce qui compte vraiment. Bon mois béni à tous. Cc @djebril_zonga @nordine_madani @sooo_med
Bon Ramadan à tous. Ramadan, pour moi, c’est avant tout un retour aux sources. Un mois où on se recentre sur l’essentiel, où on se rapproche des siens, où on se reconnecte à sa foi et à soi-même. J’aime le passer en famille, et il n’y a rien de plus beau que ces moments partagés, ces soirées où on rit, on échange, on se retrouve autour d’une table après une journée de jeûne. Mais jeûner, ce n’est pas juste s’abstenir de manger et de boire. C’est aussi travailler sur soi : sur sa patience, sa générosité, son comportement, sur notre rapport aux autres et à ce qui nous entoure. C’est un mois d’épreuves, mais surtout un mois d’apprentissage et de miséricorde. Quand je peux, j’aime le vivre pleinement au bled, à Oran, en famille. Ces quelques jours où on descend ensemble, où on se ressource, où on se rappelle d’où on vient, ça a une saveur particulière. Là-bas, tout a une autre intensité, entre les appels à la prière qui rythment la journée, les odeurs de la cuisine qui envahissent les rues, et cette ambiance unique qu’on ne retrouve nulle part ailleurs. Mais je pense aussi à tous ceux qui passeront ce Ramadan seuls, loin de leur famille, dans la difficulté. Et surtout, je pense encore une fois au peuple palestinien. Depuis mon enfance, je n’ai jamais vu un seul Ramadan où ils ont pu jeûner en paix. Chaque année, ils le vivent sous l’injustice et la souffrance, sous le regard du monde qui, trop souvent, détourne les yeux. Que Dieu leur facilite, leur accorde la patience, la force et, un jour, la paix qu’ils méritent. Ramadan, c’est la foi, c’est la solidarité, c’est l’égalité. C’est se rappeler ce qui compte vraiment. Bon mois béni à tous. Cc @djebril_zonga @nordine_madani @sooo_med
Bon Ramadan à tous. Ramadan, pour moi, c’est avant tout un retour aux sources. Un mois où on se recentre sur l’essentiel, où on se rapproche des siens, où on se reconnecte à sa foi et à soi-même. J’aime le passer en famille, et il n’y a rien de plus beau que ces moments partagés, ces soirées où on rit, on échange, on se retrouve autour d’une table après une journée de jeûne. Mais jeûner, ce n’est pas juste s’abstenir de manger et de boire. C’est aussi travailler sur soi : sur sa patience, sa générosité, son comportement, sur notre rapport aux autres et à ce qui nous entoure. C’est un mois d’épreuves, mais surtout un mois d’apprentissage et de miséricorde. Quand je peux, j’aime le vivre pleinement au bled, à Oran, en famille. Ces quelques jours où on descend ensemble, où on se ressource, où on se rappelle d’où on vient, ça a une saveur particulière. Là-bas, tout a une autre intensité, entre les appels à la prière qui rythment la journée, les odeurs de la cuisine qui envahissent les rues, et cette ambiance unique qu’on ne retrouve nulle part ailleurs. Mais je pense aussi à tous ceux qui passeront ce Ramadan seuls, loin de leur famille, dans la difficulté. Et surtout, je pense encore une fois au peuple palestinien. Depuis mon enfance, je n’ai jamais vu un seul Ramadan où ils ont pu jeûner en paix. Chaque année, ils le vivent sous l’injustice et la souffrance, sous le regard du monde qui, trop souvent, détourne les yeux. Que Dieu leur facilite, leur accorde la patience, la force et, un jour, la paix qu’ils méritent. Ramadan, c’est la foi, c’est la solidarité, c’est l’égalité. C’est se rappeler ce qui compte vraiment. Bon mois béni à tous. Cc @djebril_zonga @nordine_madani @sooo_med
Bon Ramadan à tous. Ramadan, pour moi, c’est avant tout un retour aux sources. Un mois où on se recentre sur l’essentiel, où on se rapproche des siens, où on se reconnecte à sa foi et à soi-même. J’aime le passer en famille, et il n’y a rien de plus beau que ces moments partagés, ces soirées où on rit, on échange, on se retrouve autour d’une table après une journée de jeûne. Mais jeûner, ce n’est pas juste s’abstenir de manger et de boire. C’est aussi travailler sur soi : sur sa patience, sa générosité, son comportement, sur notre rapport aux autres et à ce qui nous entoure. C’est un mois d’épreuves, mais surtout un mois d’apprentissage et de miséricorde. Quand je peux, j’aime le vivre pleinement au bled, à Oran, en famille. Ces quelques jours où on descend ensemble, où on se ressource, où on se rappelle d’où on vient, ça a une saveur particulière. Là-bas, tout a une autre intensité, entre les appels à la prière qui rythment la journée, les odeurs de la cuisine qui envahissent les rues, et cette ambiance unique qu’on ne retrouve nulle part ailleurs. Mais je pense aussi à tous ceux qui passeront ce Ramadan seuls, loin de leur famille, dans la difficulté. Et surtout, je pense encore une fois au peuple palestinien. Depuis mon enfance, je n’ai jamais vu un seul Ramadan où ils ont pu jeûner en paix. Chaque année, ils le vivent sous l’injustice et la souffrance, sous le regard du monde qui, trop souvent, détourne les yeux. Que Dieu leur facilite, leur accorde la patience, la force et, un jour, la paix qu’ils méritent. Ramadan, c’est la foi, c’est la solidarité, c’est l’égalité. C’est se rappeler ce qui compte vraiment. Bon mois béni à tous. Cc @djebril_zonga @nordine_madani @sooo_med
Bon Ramadan à tous. Ramadan, pour moi, c’est avant tout un retour aux sources. Un mois où on se recentre sur l’essentiel, où on se rapproche des siens, où on se reconnecte à sa foi et à soi-même. J’aime le passer en famille, et il n’y a rien de plus beau que ces moments partagés, ces soirées où on rit, on échange, on se retrouve autour d’une table après une journée de jeûne. Mais jeûner, ce n’est pas juste s’abstenir de manger et de boire. C’est aussi travailler sur soi : sur sa patience, sa générosité, son comportement, sur notre rapport aux autres et à ce qui nous entoure. C’est un mois d’épreuves, mais surtout un mois d’apprentissage et de miséricorde. Quand je peux, j’aime le vivre pleinement au bled, à Oran, en famille. Ces quelques jours où on descend ensemble, où on se ressource, où on se rappelle d’où on vient, ça a une saveur particulière. Là-bas, tout a une autre intensité, entre les appels à la prière qui rythment la journée, les odeurs de la cuisine qui envahissent les rues, et cette ambiance unique qu’on ne retrouve nulle part ailleurs. Mais je pense aussi à tous ceux qui passeront ce Ramadan seuls, loin de leur famille, dans la difficulté. Et surtout, je pense encore une fois au peuple palestinien. Depuis mon enfance, je n’ai jamais vu un seul Ramadan où ils ont pu jeûner en paix. Chaque année, ils le vivent sous l’injustice et la souffrance, sous le regard du monde qui, trop souvent, détourne les yeux. Que Dieu leur facilite, leur accorde la patience, la force et, un jour, la paix qu’ils méritent. Ramadan, c’est la foi, c’est la solidarité, c’est l’égalité. C’est se rappeler ce qui compte vraiment. Bon mois béni à tous. Cc @djebril_zonga @nordine_madani @sooo_med
Bon Ramadan à tous. Ramadan, pour moi, c’est avant tout un retour aux sources. Un mois où on se recentre sur l’essentiel, où on se rapproche des siens, où on se reconnecte à sa foi et à soi-même. J’aime le passer en famille, et il n’y a rien de plus beau que ces moments partagés, ces soirées où on rit, on échange, on se retrouve autour d’une table après une journée de jeûne. Mais jeûner, ce n’est pas juste s’abstenir de manger et de boire. C’est aussi travailler sur soi : sur sa patience, sa générosité, son comportement, sur notre rapport aux autres et à ce qui nous entoure. C’est un mois d’épreuves, mais surtout un mois d’apprentissage et de miséricorde. Quand je peux, j’aime le vivre pleinement au bled, à Oran, en famille. Ces quelques jours où on descend ensemble, où on se ressource, où on se rappelle d’où on vient, ça a une saveur particulière. Là-bas, tout a une autre intensité, entre les appels à la prière qui rythment la journée, les odeurs de la cuisine qui envahissent les rues, et cette ambiance unique qu’on ne retrouve nulle part ailleurs. Mais je pense aussi à tous ceux qui passeront ce Ramadan seuls, loin de leur famille, dans la difficulté. Et surtout, je pense encore une fois au peuple palestinien. Depuis mon enfance, je n’ai jamais vu un seul Ramadan où ils ont pu jeûner en paix. Chaque année, ils le vivent sous l’injustice et la souffrance, sous le regard du monde qui, trop souvent, détourne les yeux. Que Dieu leur facilite, leur accorde la patience, la force et, un jour, la paix qu’ils méritent. Ramadan, c’est la foi, c’est la solidarité, c’est l’égalité. C’est se rappeler ce qui compte vraiment. Bon mois béni à tous. Cc @djebril_zonga @nordine_madani @sooo_med
Bon Ramadan à tous. Ramadan, pour moi, c’est avant tout un retour aux sources. Un mois où on se recentre sur l’essentiel, où on se rapproche des siens, où on se reconnecte à sa foi et à soi-même. J’aime le passer en famille, et il n’y a rien de plus beau que ces moments partagés, ces soirées où on rit, on échange, on se retrouve autour d’une table après une journée de jeûne. Mais jeûner, ce n’est pas juste s’abstenir de manger et de boire. C’est aussi travailler sur soi : sur sa patience, sa générosité, son comportement, sur notre rapport aux autres et à ce qui nous entoure. C’est un mois d’épreuves, mais surtout un mois d’apprentissage et de miséricorde. Quand je peux, j’aime le vivre pleinement au bled, à Oran, en famille. Ces quelques jours où on descend ensemble, où on se ressource, où on se rappelle d’où on vient, ça a une saveur particulière. Là-bas, tout a une autre intensité, entre les appels à la prière qui rythment la journée, les odeurs de la cuisine qui envahissent les rues, et cette ambiance unique qu’on ne retrouve nulle part ailleurs. Mais je pense aussi à tous ceux qui passeront ce Ramadan seuls, loin de leur famille, dans la difficulté. Et surtout, je pense encore une fois au peuple palestinien. Depuis mon enfance, je n’ai jamais vu un seul Ramadan où ils ont pu jeûner en paix. Chaque année, ils le vivent sous l’injustice et la souffrance, sous le regard du monde qui, trop souvent, détourne les yeux. Que Dieu leur facilite, leur accorde la patience, la force et, un jour, la paix qu’ils méritent. Ramadan, c’est la foi, c’est la solidarité, c’est l’égalité. C’est se rappeler ce qui compte vraiment. Bon mois béni à tous. Cc @djebril_zonga @nordine_madani @sooo_med
Bon Ramadan à tous. Ramadan, pour moi, c’est avant tout un retour aux sources. Un mois où on se recentre sur l’essentiel, où on se rapproche des siens, où on se reconnecte à sa foi et à soi-même. J’aime le passer en famille, et il n’y a rien de plus beau que ces moments partagés, ces soirées où on rit, on échange, on se retrouve autour d’une table après une journée de jeûne. Mais jeûner, ce n’est pas juste s’abstenir de manger et de boire. C’est aussi travailler sur soi : sur sa patience, sa générosité, son comportement, sur notre rapport aux autres et à ce qui nous entoure. C’est un mois d’épreuves, mais surtout un mois d’apprentissage et de miséricorde. Quand je peux, j’aime le vivre pleinement au bled, à Oran, en famille. Ces quelques jours où on descend ensemble, où on se ressource, où on se rappelle d’où on vient, ça a une saveur particulière. Là-bas, tout a une autre intensité, entre les appels à la prière qui rythment la journée, les odeurs de la cuisine qui envahissent les rues, et cette ambiance unique qu’on ne retrouve nulle part ailleurs. Mais je pense aussi à tous ceux qui passeront ce Ramadan seuls, loin de leur famille, dans la difficulté. Et surtout, je pense encore une fois au peuple palestinien. Depuis mon enfance, je n’ai jamais vu un seul Ramadan où ils ont pu jeûner en paix. Chaque année, ils le vivent sous l’injustice et la souffrance, sous le regard du monde qui, trop souvent, détourne les yeux. Que Dieu leur facilite, leur accorde la patience, la force et, un jour, la paix qu’ils méritent. Ramadan, c’est la foi, c’est la solidarité, c’est l’égalité. C’est se rappeler ce qui compte vraiment. Bon mois béni à tous. Cc @djebril_zonga @nordine_madani @sooo_med
Bon Ramadan à tous. Ramadan, pour moi, c’est avant tout un retour aux sources. Un mois où on se recentre sur l’essentiel, où on se rapproche des siens, où on se reconnecte à sa foi et à soi-même. J’aime le passer en famille, et il n’y a rien de plus beau que ces moments partagés, ces soirées où on rit, on échange, on se retrouve autour d’une table après une journée de jeûne. Mais jeûner, ce n’est pas juste s’abstenir de manger et de boire. C’est aussi travailler sur soi : sur sa patience, sa générosité, son comportement, sur notre rapport aux autres et à ce qui nous entoure. C’est un mois d’épreuves, mais surtout un mois d’apprentissage et de miséricorde. Quand je peux, j’aime le vivre pleinement au bled, à Oran, en famille. Ces quelques jours où on descend ensemble, où on se ressource, où on se rappelle d’où on vient, ça a une saveur particulière. Là-bas, tout a une autre intensité, entre les appels à la prière qui rythment la journée, les odeurs de la cuisine qui envahissent les rues, et cette ambiance unique qu’on ne retrouve nulle part ailleurs. Mais je pense aussi à tous ceux qui passeront ce Ramadan seuls, loin de leur famille, dans la difficulté. Et surtout, je pense encore une fois au peuple palestinien. Depuis mon enfance, je n’ai jamais vu un seul Ramadan où ils ont pu jeûner en paix. Chaque année, ils le vivent sous l’injustice et la souffrance, sous le regard du monde qui, trop souvent, détourne les yeux. Que Dieu leur facilite, leur accorde la patience, la force et, un jour, la paix qu’ils méritent. Ramadan, c’est la foi, c’est la solidarité, c’est l’égalité. C’est se rappeler ce qui compte vraiment. Bon mois béni à tous. Cc @djebril_zonga @nordine_madani @sooo_med
Bon Ramadan à tous. Ramadan, pour moi, c’est avant tout un retour aux sources. Un mois où on se recentre sur l’essentiel, où on se rapproche des siens, où on se reconnecte à sa foi et à soi-même. J’aime le passer en famille, et il n’y a rien de plus beau que ces moments partagés, ces soirées où on rit, on échange, on se retrouve autour d’une table après une journée de jeûne. Mais jeûner, ce n’est pas juste s’abstenir de manger et de boire. C’est aussi travailler sur soi : sur sa patience, sa générosité, son comportement, sur notre rapport aux autres et à ce qui nous entoure. C’est un mois d’épreuves, mais surtout un mois d’apprentissage et de miséricorde. Quand je peux, j’aime le vivre pleinement au bled, à Oran, en famille. Ces quelques jours où on descend ensemble, où on se ressource, où on se rappelle d’où on vient, ça a une saveur particulière. Là-bas, tout a une autre intensité, entre les appels à la prière qui rythment la journée, les odeurs de la cuisine qui envahissent les rues, et cette ambiance unique qu’on ne retrouve nulle part ailleurs. Mais je pense aussi à tous ceux qui passeront ce Ramadan seuls, loin de leur famille, dans la difficulté. Et surtout, je pense encore une fois au peuple palestinien. Depuis mon enfance, je n’ai jamais vu un seul Ramadan où ils ont pu jeûner en paix. Chaque année, ils le vivent sous l’injustice et la souffrance, sous le regard du monde qui, trop souvent, détourne les yeux. Que Dieu leur facilite, leur accorde la patience, la force et, un jour, la paix qu’ils méritent. Ramadan, c’est la foi, c’est la solidarité, c’est l’égalité. C’est se rappeler ce qui compte vraiment. Bon mois béni à tous. Cc @djebril_zonga @nordine_madani @sooo_med
Bon Ramadan à tous. Ramadan, pour moi, c’est avant tout un retour aux sources. Un mois où on se recentre sur l’essentiel, où on se rapproche des siens, où on se reconnecte à sa foi et à soi-même. J’aime le passer en famille, et il n’y a rien de plus beau que ces moments partagés, ces soirées où on rit, on échange, on se retrouve autour d’une table après une journée de jeûne. Mais jeûner, ce n’est pas juste s’abstenir de manger et de boire. C’est aussi travailler sur soi : sur sa patience, sa générosité, son comportement, sur notre rapport aux autres et à ce qui nous entoure. C’est un mois d’épreuves, mais surtout un mois d’apprentissage et de miséricorde. Quand je peux, j’aime le vivre pleinement au bled, à Oran, en famille. Ces quelques jours où on descend ensemble, où on se ressource, où on se rappelle d’où on vient, ça a une saveur particulière. Là-bas, tout a une autre intensité, entre les appels à la prière qui rythment la journée, les odeurs de la cuisine qui envahissent les rues, et cette ambiance unique qu’on ne retrouve nulle part ailleurs. Mais je pense aussi à tous ceux qui passeront ce Ramadan seuls, loin de leur famille, dans la difficulté. Et surtout, je pense encore une fois au peuple palestinien. Depuis mon enfance, je n’ai jamais vu un seul Ramadan où ils ont pu jeûner en paix. Chaque année, ils le vivent sous l’injustice et la souffrance, sous le regard du monde qui, trop souvent, détourne les yeux. Que Dieu leur facilite, leur accorde la patience, la force et, un jour, la paix qu’ils méritent. Ramadan, c’est la foi, c’est la solidarité, c’est l’égalité. C’est se rappeler ce qui compte vraiment. Bon mois béni à tous. Cc @djebril_zonga @nordine_madani @sooo_med
Bon Ramadan à tous. Ramadan, pour moi, c’est avant tout un retour aux sources. Un mois où on se recentre sur l’essentiel, où on se rapproche des siens, où on se reconnecte à sa foi et à soi-même. J’aime le passer en famille, et il n’y a rien de plus beau que ces moments partagés, ces soirées où on rit, on échange, on se retrouve autour d’une table après une journée de jeûne. Mais jeûner, ce n’est pas juste s’abstenir de manger et de boire. C’est aussi travailler sur soi : sur sa patience, sa générosité, son comportement, sur notre rapport aux autres et à ce qui nous entoure. C’est un mois d’épreuves, mais surtout un mois d’apprentissage et de miséricorde. Quand je peux, j’aime le vivre pleinement au bled, à Oran, en famille. Ces quelques jours où on descend ensemble, où on se ressource, où on se rappelle d’où on vient, ça a une saveur particulière. Là-bas, tout a une autre intensité, entre les appels à la prière qui rythment la journée, les odeurs de la cuisine qui envahissent les rues, et cette ambiance unique qu’on ne retrouve nulle part ailleurs. Mais je pense aussi à tous ceux qui passeront ce Ramadan seuls, loin de leur famille, dans la difficulté. Et surtout, je pense encore une fois au peuple palestinien. Depuis mon enfance, je n’ai jamais vu un seul Ramadan où ils ont pu jeûner en paix. Chaque année, ils le vivent sous l’injustice et la souffrance, sous le regard du monde qui, trop souvent, détourne les yeux. Que Dieu leur facilite, leur accorde la patience, la force et, un jour, la paix qu’ils méritent. Ramadan, c’est la foi, c’est la solidarité, c’est l’égalité. C’est se rappeler ce qui compte vraiment. Bon mois béni à tous. Cc @djebril_zonga @nordine_madani @sooo_med
Bon Ramadan à tous. Ramadan, pour moi, c’est avant tout un retour aux sources. Un mois où on se recentre sur l’essentiel, où on se rapproche des siens, où on se reconnecte à sa foi et à soi-même. J’aime le passer en famille, et il n’y a rien de plus beau que ces moments partagés, ces soirées où on rit, on échange, on se retrouve autour d’une table après une journée de jeûne. Mais jeûner, ce n’est pas juste s’abstenir de manger et de boire. C’est aussi travailler sur soi : sur sa patience, sa générosité, son comportement, sur notre rapport aux autres et à ce qui nous entoure. C’est un mois d’épreuves, mais surtout un mois d’apprentissage et de miséricorde. Quand je peux, j’aime le vivre pleinement au bled, à Oran, en famille. Ces quelques jours où on descend ensemble, où on se ressource, où on se rappelle d’où on vient, ça a une saveur particulière. Là-bas, tout a une autre intensité, entre les appels à la prière qui rythment la journée, les odeurs de la cuisine qui envahissent les rues, et cette ambiance unique qu’on ne retrouve nulle part ailleurs. Mais je pense aussi à tous ceux qui passeront ce Ramadan seuls, loin de leur famille, dans la difficulté. Et surtout, je pense encore une fois au peuple palestinien. Depuis mon enfance, je n’ai jamais vu un seul Ramadan où ils ont pu jeûner en paix. Chaque année, ils le vivent sous l’injustice et la souffrance, sous le regard du monde qui, trop souvent, détourne les yeux. Que Dieu leur facilite, leur accorde la patience, la force et, un jour, la paix qu’ils méritent. Ramadan, c’est la foi, c’est la solidarité, c’est l’égalité. C’est se rappeler ce qui compte vraiment. Bon mois béni à tous. Cc @djebril_zonga @nordine_madani @sooo_med
La charge raciale, c’est quoi ? Pour ceux qui découvrent ou qui n’avaient pas encore posé un mot là-dessus, il y a un truc que beaucoup de gens subissent sans forcément savoir comment le nommer : la charge raciale. C’est le poids mental et émotionnel que les personnes racisées portent au quotidien, juste parce qu’elles existent dans une société qui les regarde différemment. C’est pas une simple accumulation de petites gênes, c’est un stress permanent qui peut peser lourd, que ce soit au taf, dans la rue, dans les interactions sociales… C’est pas un concept sorti de nulle part, ça fait un moment que ça existe, mais bizarrement, on n’en parle pas tant que ça. Tout commence aux États-Unis, début 1900, avec W.E.B. Du Bois, un OG dans les études sur la race. Il balance un concept qu’il appelle la double conscience : en gros, être noir dans un monde blanc, c’est devoir se voir à travers les yeux des autres, tout en restant soi-même. T’imagines le taf mental ? Ça, c’est la base de ce qu’on appelle aujourd’hui la charge raciale. Ensuite, direction le Canada. Là, un sociologue, Rachid Bagaoui, reprend le truc et pousse encore plus loin. Il met des mots sur ce qu’on ressent au quotidien : devoir anticiper les préjugés, faire gaffe à comment on parle, comment on bouge, toujours être en alerte. Bref, un stress invisible que beaucoup portent sans même s’en rendre compte. Et en France, ça prend encore une autre tournure. Maboula Soumahoro en parle en 2020 dans son bouquin Le Triangle et l’Hexagone. Elle compare la charge raciale à la charge mentale des femmes, mais version racisme : toujours devoir justifier, éduquer, calmer, prouver qu’on est légitime… Bref, ce truc, c’est réel. Ça nous bouffe de l’énergie sans qu’on s’en rende compte. Et le pire, c’est qu’on nous fait croire que c’est “dans notre tête”. Nah, c’est bien là, et en parler, c’est déjà une façon de l’alléger un peu. Merci pour vos témoignages. On doit pas transmettre ça à nos enfants 🙏🏽
C’est la Journée internationale des droits des femmes, et je suis plus que jamais motivée à vivre pleinement mes rêves, à aller au bout de ce que j’ai envie d’accomplir. Aujourd’hui encore plus, je veux être un exemple pour ma fille. Je casse des héritages, je déconstruis ce qu’on m’a transmis. Il y a du bon, il y a du moins bon. Mais une chose est sûre : ma place en tant que femme doit être respectée et comprise. Que ce soit dans la rue, sur un plateau de cinéma, dans les coulisses d’un club de stand-up ou au volant de ma voiture, on me fait encore sentir que je devrais être en dessous. Pourtant, ma place est bien là. On peut s’asseoir à la même table et boire le même café, hein. Promis, je prends pas trop de place. Je suis fière. Fière d’être moi, la petite Belge d’Anderlecht, fière de prendre du plaisir sur scène, d’écrire des films, des séries, de réaliser des documentaires, de lancer une marque de vêtements…Oui, je doute, comme tout le monde. Mais aujourd’hui, je refuse qu’on me fasse douter. Je suis légitime. Et je veux que ma fille, plus tard, puisse se dire que tout est possible avec le travail. Pas en travaillant dix fois plus que quiconque. Juste en travaillant. Un travail équitable, point. Pas en mode “tu bosses deux fois plus et t’as la moitié de la reconnaissance”. Ça, c’est plus une arnaque qu’un deal. Alors à toutes les femmes qui m’inspirent, qui m’ont montré que c’était possible. À ma mère, qui a traversé la Méditerranée et est devenue la femme qu’elle est aujourd’hui. À ma grand-mère, qui a élevé 13 enfants tout en travaillant. À celles que je côtoie et qui me tirent vers le haut. Merci. #JournéeDesDroitsDesFemmes #Fière #Légitime #Équité #MerciAuxFemmes
C’est la Journée internationale des droits des femmes, et je suis plus que jamais motivée à vivre pleinement mes rêves, à aller au bout de ce que j’ai envie d’accomplir. Aujourd’hui encore plus, je veux être un exemple pour ma fille. Je casse des héritages, je déconstruis ce qu’on m’a transmis. Il y a du bon, il y a du moins bon. Mais une chose est sûre : ma place en tant que femme doit être respectée et comprise. Que ce soit dans la rue, sur un plateau de cinéma, dans les coulisses d’un club de stand-up ou au volant de ma voiture, on me fait encore sentir que je devrais être en dessous. Pourtant, ma place est bien là. On peut s’asseoir à la même table et boire le même café, hein. Promis, je prends pas trop de place. Je suis fière. Fière d’être moi, la petite Belge d’Anderlecht, fière de prendre du plaisir sur scène, d’écrire des films, des séries, de réaliser des documentaires, de lancer une marque de vêtements…Oui, je doute, comme tout le monde. Mais aujourd’hui, je refuse qu’on me fasse douter. Je suis légitime. Et je veux que ma fille, plus tard, puisse se dire que tout est possible avec le travail. Pas en travaillant dix fois plus que quiconque. Juste en travaillant. Un travail équitable, point. Pas en mode “tu bosses deux fois plus et t’as la moitié de la reconnaissance”. Ça, c’est plus une arnaque qu’un deal. Alors à toutes les femmes qui m’inspirent, qui m’ont montré que c’était possible. À ma mère, qui a traversé la Méditerranée et est devenue la femme qu’elle est aujourd’hui. À ma grand-mère, qui a élevé 13 enfants tout en travaillant. À celles que je côtoie et qui me tirent vers le haut. Merci. #JournéeDesDroitsDesFemmes #Fière #Légitime #Équité #MerciAuxFemmes
C’est la Journée internationale des droits des femmes, et je suis plus que jamais motivée à vivre pleinement mes rêves, à aller au bout de ce que j’ai envie d’accomplir. Aujourd’hui encore plus, je veux être un exemple pour ma fille. Je casse des héritages, je déconstruis ce qu’on m’a transmis. Il y a du bon, il y a du moins bon. Mais une chose est sûre : ma place en tant que femme doit être respectée et comprise. Que ce soit dans la rue, sur un plateau de cinéma, dans les coulisses d’un club de stand-up ou au volant de ma voiture, on me fait encore sentir que je devrais être en dessous. Pourtant, ma place est bien là. On peut s’asseoir à la même table et boire le même café, hein. Promis, je prends pas trop de place. Je suis fière. Fière d’être moi, la petite Belge d’Anderlecht, fière de prendre du plaisir sur scène, d’écrire des films, des séries, de réaliser des documentaires, de lancer une marque de vêtements…Oui, je doute, comme tout le monde. Mais aujourd’hui, je refuse qu’on me fasse douter. Je suis légitime. Et je veux que ma fille, plus tard, puisse se dire que tout est possible avec le travail. Pas en travaillant dix fois plus que quiconque. Juste en travaillant. Un travail équitable, point. Pas en mode “tu bosses deux fois plus et t’as la moitié de la reconnaissance”. Ça, c’est plus une arnaque qu’un deal. Alors à toutes les femmes qui m’inspirent, qui m’ont montré que c’était possible. À ma mère, qui a traversé la Méditerranée et est devenue la femme qu’elle est aujourd’hui. À ma grand-mère, qui a élevé 13 enfants tout en travaillant. À celles que je côtoie et qui me tirent vers le haut. Merci. #JournéeDesDroitsDesFemmes #Fière #Légitime #Équité #MerciAuxFemmes
C’est la Journée internationale des droits des femmes, et je suis plus que jamais motivée à vivre pleinement mes rêves, à aller au bout de ce que j’ai envie d’accomplir. Aujourd’hui encore plus, je veux être un exemple pour ma fille. Je casse des héritages, je déconstruis ce qu’on m’a transmis. Il y a du bon, il y a du moins bon. Mais une chose est sûre : ma place en tant que femme doit être respectée et comprise. Que ce soit dans la rue, sur un plateau de cinéma, dans les coulisses d’un club de stand-up ou au volant de ma voiture, on me fait encore sentir que je devrais être en dessous. Pourtant, ma place est bien là. On peut s’asseoir à la même table et boire le même café, hein. Promis, je prends pas trop de place. Je suis fière. Fière d’être moi, la petite Belge d’Anderlecht, fière de prendre du plaisir sur scène, d’écrire des films, des séries, de réaliser des documentaires, de lancer une marque de vêtements…Oui, je doute, comme tout le monde. Mais aujourd’hui, je refuse qu’on me fasse douter. Je suis légitime. Et je veux que ma fille, plus tard, puisse se dire que tout est possible avec le travail. Pas en travaillant dix fois plus que quiconque. Juste en travaillant. Un travail équitable, point. Pas en mode “tu bosses deux fois plus et t’as la moitié de la reconnaissance”. Ça, c’est plus une arnaque qu’un deal. Alors à toutes les femmes qui m’inspirent, qui m’ont montré que c’était possible. À ma mère, qui a traversé la Méditerranée et est devenue la femme qu’elle est aujourd’hui. À ma grand-mère, qui a élevé 13 enfants tout en travaillant. À celles que je côtoie et qui me tirent vers le haut. Merci. #JournéeDesDroitsDesFemmes #Fière #Légitime #Équité #MerciAuxFemmes
Après avoir parlé de la charge mentale, voilà la charge raciale. Qu’est ce que vous avez déjà vécu?
HÂTE DE VOUS RETROUVER 🔥 nawellmadani.com
HÂTE DE VOUS RETROUVER 🔥 nawellmadani.com
HÂTE DE VOUS RETROUVER 🔥 nawellmadani.com
HÂTE DE VOUS RETROUVER 🔥 nawellmadani.com
Avant de manger, 30 min de corde à sauter. Qui a une routine?